
Au centre de Merelbeke, un tout nouveau centre d’art et de culture ouvrira ses portes en 2021. Dans le même esprit que sa conception cubiste particulière, AnD architecten cherchait une couverture fiable pour toit plat qui puisse en outre l’insonoriser. C’est parmi la vaste gamme de SOPREMA que l’entreprise a trouvé la solution.
Une œuvre d’art cubiste
Flexible, multifonctionnelle et permettant d’accueillir plusieurs événements en même temps. Telle est la base de la Maison de la Culture de Merelbeke, explique David De Beule de AnD architecten. Le cœur de ce bâtiment particulier abrite une salle polyvalente avec une tribune extensible. Tout autour, les architectes ont conçu un café culturel, un foyer et un espace d’exposition au rez-de-chaussée. Au premier étage, on trouvera des salles de classe, une salle de répétition ainsi que les bureaux de l’équipe « Maison de la Culture ».
La conception de la maison de la culture est atypique à l’intérieur comme à l’extérieur. Le plan au sol prend la forme d’une étoile et l’aspect est cubiste. « Nous avons suivi les lignes de perspective de l’environnement », raconte l’architecte De Beule. L’utilisation des matériaux est également particulière. « Nous utilisons par exemple de l’acier Corten pour la façade. L’édifice n’en est que plus marquant. En outre, il s’intègre bien à l’environnement, car les bâtiments qui l’entourent sont dans les mêmes tons de brun-rouille. »
Un toit très lourd
Selon les calculs de l’ingénieur en acoustique de AnD architecten, le toit plat de 2 690 mètres carrés devait au moins peser 8 kilos par mètre carré, afin d’être certain que la maison de la culture ne cause aucune nuisance sonore et n’ait pas à subir le bruit ambiant. Pour l’architecte De Beule, il n’existait en fait qu’une seule solution pour le toit : « Un revêtement de bitume en deux couches. Une toiture en EPDM pèse environ 2 kilos par mètre carré. Ce qui ne suffit pas pour répondre aux exigences acoustiques. »


La Maison de Culture de Merelbeke dispose donc désormais d’un toit SOPREMA extra lourd. « Grâce à la pose d’une couverture en deux couches, le toit pèse maintenant environ 8 à 9 kilos par mètre carré. C’est jusqu’ à 4 fois plus qu’une feuille EPDM, mais parfait pour l’acoustique, car cela ne nécessite qu’une construction masse-ressort-masse », explique l’architecte. « Ici, nous partons de deux masses séparées par une couche intermédiaire ressort – qui peut être de l’air, ou un matériau isolant. Le système fonctionne comme suit : le son heurte la première masse qui se met à vibrer. Le ressort entre les deux couches intercepte cette vibration et fait office d’amortisseur. Le son est alors transmis considérablement atténué à la seconde masse. »
Opter pour une construction classique
Selon De Beule, le choix s’est porté sur une construction du toit classique. « La membrane Sopraglass PB V3 TF utilisée comme pare-vapeur est thermofusible et nous avons collé par-dessus de la laine de roche de 20 cm d’épaisseur et de deux densités différentes comme isolant, également en raison de ses propriétés acoustiques. Pour la sous-couche, nous avons utilisé Soprarock PB P3 et pour la couche supérieure un insert C3. »


L’entrepreneur a proposé d’utiliser les produits de SOPREMA pour la Maison de la Culture de Merelbeke. « Bien entendu, nous ne pouvions mentionner aucune marque dans notre cahier des charges », déclare l’architecte De Beule. « Mais notre entrepreneur a proposé SOPREMA sur base de ce cahier des charges ; ils disposent des meilleurs matériaux de revêtement de toiture répondant aux exigences fixées. Nous avons accepté leur proposition, qui s’est avérée par la suite être un excellent choix. Les matériaux répondent également à nos exigences dans la pratique et nos attentes sont parfaitement rencontrées. Par conséquent, la prochaine fois qu’un entrepreneur nous proposera SOPREMA, nous lui répondrons certainement ‘oui’. »
Une fiabilité prouvée
Selon l’architecte De Beule, le plus grand avantage de la toiture en bitume de SOPREMA est qu’elle figure sur le marché depuis des années. « Les entrepreneurs sont donc habitués à ce matériau et en connaissent les détails. Il n’y a aucune mauvaise surprise et il a prouvé ses qualités au fil du temps. De plus, lorsque nous avons eu affaire à une accumulation d’eau entre les deux couches alors que nous effectuions les travaux de Merelbeke sous la pluie, le problème a été rapidement résolu et réparé sur place. »

