Conversation avec Gilles, qui se sent apprécié dans son rôle de graphiste

Après que SOPREMA ait repris l’entreprise où il travaillait depuis quatorze ans comme graphiste, Gilles Rombeau a décidé d’y rester. Un choix dont il est toujours absolument ravi aujourd’hui.

Compris dans la reprise

Mon parcours est assez particulier : j’ai en réalité plutôt ‘échoué par hasard’ chez SOPREMA lorsqu’ils ont repris De Boer NV il y a trois ans. Nous avions alors le choix de rester ou non, et après un entretien avec le marketing manager, j’ai décidé de rester. Un choix dont je suis toujours absolument ravi. Chez De Boer NV, j’ai formé une sorte de département marketing à moi tout seul pendant quatorze ans. C’était sympa, mais cela avait aussi ses inconvénients, parce que je devais évidemment tout faire moi-même. Tout d’un coup, je me suis retrouvé dans une équipe comptant de nombreux collègues. Une équipe bien rodée, en outre, ce qui rend le travail très agréable. Je trouve vraiment chouette de pouvoir consulter mes collègues de temps à autre, et de pouvoir aussi maintenant davantage me consacrer aux aspects créatifs.

Donner une voix et un visage

Avec mon collègue direct, je suis dans le dernier wagon de l’équipe marketing. Je veux dire par là que les concepts ne nous parviennent que dans une phase ultérieure. Nous nous occupons de la conception finale. Autrement dit, nous donnons une voix et un visage à SOPREMA. Nous essayons de faire un maximum de choses nous-mêmes, de la conception des emballages, des autocollants, des brochures et des posts sur les réseaux sociaux au webdesign, en passant par les prises de vues photo, les enregistrements et le montage de vidéos. Notre objectif est toujours de donner davantage de couleurs à l’univers du revêtement de toiture et de l’isolation, et de le présenter d’une ‘autre’ manière, originale. C’est la liberté qu’on nous accorde à cet égard qui rend notre job aussi sympa.

Ouverts aux bonnes idées

Je retrouve aussi chez mon employeur ce que je considère moi-même comme important. La durabilité par exemple, mais également une bonne communication avec les employés et un véritable engagement. La façon dont une entreprise traite les gens, mais aussi dont les collègues agissent les uns envers les autres, ce genre de choses joue un rôle essentiel dans le fait que j’aime ou non travailler dans l’endroit en question. Parce que quand on peut collaborer comme le feraient des amis, c’est toujours nettement mieux. Heureusement, j’ai retrouvé ces valeurs chez SOPREMA. Je vois quelque chose qui pourrait être amélioré ? Dans ce cas, j’essaie d’y parvenir en usant de ma propre créativité. J’y suis fortement encouragé, parce qu’ils sont très ouverts aux bonnes idées ici. Et le fait qu’il s’agisse d’une grande entreprise facilite également leur concrétisation.

Ambiance agréable et accessibilité

SOPREMA évolue constamment. Depuis trois ans que je travaille ici, j’ai déjà vu beaucoup de choses changer. Même si on se retrouve ici au sein d’une multinationale, l’entreprise conserve toujours une dimension familiale, d’une certaine manière. Vous aurez toujours une relation plus étroite avec les collègues avec lesquels vous travaillez souvent, mais tout le monde se connaît assez bien et est très accessible. Cela crée une ambiance agréable, qui vous donne le sentiment qu’ils s’intéressent vraiment à vous et que vous comptez pour eux. Comme quand j’ai exprimé le souhait d’avoir une voiture de société électrique au lieu d’une diesel : ils auraient pu tout aussi bien refuser, mais ils ont montré qu’ils étaient prêts à l’accepter. Je n’ai jamais eu l’impression de ‘devoir déménager avec les meubles’ après le rachat. Vous devez évidemment faire vos preuves, mais une fois que c’est le cas, je me suis senti rapidement apprécié à ma juste valeur.